François Bayrou dresse un constat alarmant : l'économie française est un « bateau dont la coque est trouée », alourdie par 3 345 milliards d'euros de dette. Son plan ? 44 milliards d'économies pour ramener le déficit à 3 % du PIB d'ici 2029.

plaide-t-il, pointant le « quoi qu'il en coûte » et la crise énergétique.

Supprimer deux jours fériés pour engranger 4 milliards d'euros ? Une mesure rejetée par 80 % des Français, mais défendue par Bayrou comme un moteur de « richesse nationale ». Il critique le PS et ses 32 milliards d'impôts sur les entreprises, frein au compromis. Côté retraites, il propose un effort fiscal modeste (18 €/mois) pour les plus aisés.

Le 8 septembre, Bayrou joue son va-tout avec un vote de confiance à l'Assemblée. Sans « accord minimal », la paralysie guette. Il écarte l'immigration comme cause des maux économiques, tout en prônant des contrôles renforcés.

Sur l'UE, il rappelle : 27 milliards versés, 32 milliards reçus. Les oppositions fustigent un discours « radioactif ».

Ces choix monétaires influencent les investisseurs mondiaux, y compris le CAC 40, bien plus que les soubresauts politiques français. Les entreprises, globalisées, ajustent leurs stratégies aux signaux d'outre-Atlantique.